Rendez-vous pour le troisième concert qui s’inscrit dans le cadre de l’opération Campus Oreille ! Le programme qui vous attend ravira vos oreilles.
Vous aurez le plaisir d'assister à l'interprétation des Hébrides de Mendelssohn, de la Symphonie n°8 de Dvorak et d'un Concertino pour trombone et orchestre de Ferdinand David.
L’Orchestre universitaire de Strasbourg et l’Afges s’associent à nouveau pour proposer aux étudiants, aux mélomanes avisés, et aux amateurs de musique un concert gratuit.
Le concert se déroulera dans l'aula du Palais universitaire de Strasbourg le mardi 17 avril à 21 heures.
Figure marquante de l’histoire de la danse contemporaine africaine, proche de Léopold Sédar Senghor et de Maurice Béjart, fondatrice de la compagnie Jant Bi et de l’École des sables au Sénégal, Germaine Acogny mêle la gestuelle héritée des traditions d’Afrique de l’Ouest aux techniques occidentales.
Songook yaakaar (« affronter l’espoir ») est un spectacle solo, chorégraphié et dansé par elle. Il est proposé par la Faculté des sciences du sport, avec le soutien du Service universitaire de l’action culturelle, en complément au colloque « Corps, éducation, mondialités – approches comparatives dans l’espace francophone » et à l’atelier-séminaire « Transmission de la danse », organisés avec de nombreux partenaires autour de l’accueil de l’artiste en mai prochain à l’Université de Strasbourg.
Spectacle chorégraphique / mercredi 23 mai / 20h30
Auditorium de la Cité de la musique et de la danse, 1 place Dauphine, Strasbourg
Entrée libre.
En marge du colloque « Dire la guerre, penser la paix », la Faculté de théologie protestante, avec le soutien du Service universitaire de l’action culturelle, propose une représentation de la pièce de Maurice Joly, adaptée, mise en scène et interprétée par Christian Nardin, avec Luc Michel.
Dans Dialogue aux enfers entre Machiavel et Montesquieu (1864), Machiavel, le diplomate de la Renaissance italienne, auteur du Traité du Prince, et Montesquieu, le philosophe français auteur de L’Esprit des lois, qui jette les bases de la démocratie moderne, se rencontrent au royaume des morts. A travers les échanges entre ces deux figures emblématiques de la pensée politique, Maurice Joly met en question la nature réelle de notre modernité : lequel des deux penseurs a-t-il vu juste sur « l’homme » et sur « la bonne société possible » ?
Spectacle théâtral / lundi 14 mai / 18h
Salle Tauler du Palais universitaire, 9 place de l'Université, Strasbourg
Entrée libre dans la limite des places disponibles.
La compagnie Andora, de l’Université fédérale de Esperito Santo (Ufes) au Brésil, présente une série de danses populaires brésiliennes, au Collège doctoral européen le 30 avril 2012 à 16h (46 Boulevard de la Victoire à Strasbourg).
Cette compagnie de danse a été fondée en 2006 au sein du Centre d’éducation physique et sportive de l’Ufes. Elle est constituée d’une trentaine de danseurs, étudiants de diverses disciplines. Issue d’un projet coordonné par le professeur Antonio Carlos Moraes (Projet Goiamum / Praxis), son activité vise à assurer la continuité entre enseignement, recherche et valorisation des connaissances.
La recherche universitaire des étudiants s’est inspirée de la culture populaire brésilienne, transmise oralement d’une génération à l’autre. Ils ont élaboré une expression artistique sous forme de danses régionales qui racontent un peu de l’histoire non officielle du pays et de sa culture populaire. Des cinq grandes régions du Brésil, trois sont ici présentées et rappellent les travaux agricoles et les moments de détente, les réjouissances saisonnières et les fêtes religieuses.
Le groupe est accueilli par le Laboratoire cultures et sociétés en Europe (UMR 7236), la Maison interuniversitaire des sciences de l’homme en Alsace (Misha) et le Collège doctoral européen.
Avant d’être la source d’une des plus grandes peurs de l’humanité, la radioactivité a d’abord été une des découvertes majeures du XXe siècle et a suscité la fascination et l’engouement du public. En 1911, Marie Curie recevait son deuxième prix Nobel pour ses travaux sur le polonium et le radium. Aujourd’hui, à l’heure où l’Allemagne affirme sa volonté de sortir du nucléaire, la légitimité de cette énergie est remise en cause. Internet ouvre un véritable espace de parole aux partisans comme aux opposants du nucléaire. Coup de zoom sur la radioactivité sur le web avec les chroniqueurs du master Communication scientifique sur le web dans cette nouvelle livraison de Ni vu ni connu.
Huit visites guidées thématiques, un atelier d'initiation à la photographie d'architecture, un jeu de piste et surtout des conférences, sur l'Université impériale et l'inventaire du patrimoine strasbourgeois : un programme chargé mais passionnant, qui est celui des rendez-vous de la Neustadt.
Les 13 et 14 avril, venez découvrir la première édition de ces rendez-vous annuels, point d'étape proposé par la Région, la Ville et la Communauté urbaine, pour découvrir le patrimoine urbain de la Neustadt de Strasbourg.
La Neustadt, c'est ce grand projet de l'empereur Guillaume II, qui a dessiné la ville telle que nous la connaissons aujourd'hui. Avec Jean-Geoffroy Conrath, son architecte, il a ainsi bâti son projet autour de l'Axe impérial, qui va du Palais universitaire à la place de la République, la Kaiserplatz.
En fin d'année 2010, la Région, la Ville et la Communauté urbaine de Strasbourg ont lancé un vaste projet d'études et de valorisation de ce plan d'urbanisme impérial. L'inventaire du patrimoine urbain de la Neustadt durera six ans, au cours desquels chaque quartier sera examiné. Les informations ainsi recueillies permettront notamment un développement de la ville respectueux du patrimoine.
L'Université, en tant que première pièce de la Neustadt, ouvre donc le bal de ce grand inventaire. Lors de ces deux jours, des étudiants du master 2 d’histoire de l’art proposeront des visites guidées à la découverte des villas qui bordent l’université, tandis que l’Association des étudiants en sciences historiques se chargera du jeu de piste « Vivre une journée dans la peau d’un étudiant à Strasbourg en 1900 ».
Top départ le lundi 16 avril : cette année encore, les élèves du bureau des arts de l'ECPM organisent la Semaine des arts. Elle se tiendra dans les locaux de l'École européenne de chimie polymères et matériaux et commencera dès 19h30 avec du théâtre, les concerts de la chorale et de l'orchestre des élèves, un concert rock, une démonstration de breakdance et un buffet. Au programme du 17 avril : le quiz du BDA et la projection d'Ouvre les yeux (Abre los ojos), film d'Alejandro Amenábar, dans l'amphithéâtre Forestier. Et, toute la semaine, une exposition se tiendra dans le hall de l'école.
Retenez la date : vendredi 13 avril, à partir de 19 heures, les musées de Strasbourg, en collaboration avec Strasbourg aime ses étudiants, organisent une nuit étudiante au Musée de l'Œuvre Notre-Dame. Elle commencera par une introduction à l'exposition sur le sculpteur du XVe siècle Nicolas de Leyde, avec des médiations assurées par des étudiants en art. Ensuite, place à la musique avec un set de DJ et une animation vidéo dans la cour du musée, proposés par le groupe Panimix.
Places limitées : invitation à retirer sur présentation de la carte étudiant à la boutique Culture ou au kiosque de la Carte Culture.
L'Association parlementaire européenne (APE), avec laquelle l'IHEE (Institut des hautes études européennes) entretient des relations étroites et fructueuses depuis longtemps, organise du 18 au 25 avril 2012 les Journées du Danemark.
Dans le cadre de la présidence danoise du Conseil de l'Union europénne, l'APE invite le public à des rendez-vous intellectuels et culturels en présence d'éminents représentants de la vie politique, sociale et artistique danoise.
Le programme des Journées du Danemark
Du 16 au 20 avril 2012, la création étudiante s’installe au Collège doctoral européen. Tous les participants aux Ateliers culturels de l’Université de Strasbourg proposeront exposition, performances et parcours sonore afin de partager avec le public le résultat d’un semestre de réflexion, de recherche et de travail artistique.
Depuis 2006 au sein du Service universitaire de l’action culturelle, les Ateliers culturels proposent aux étudiants de deuxième et troisième année de licence une initiation au monde de la création artistique, le tout encadré par des doctorants spécialistes de leurs disciplines. Au courant de l’année universitaire, les sept ateliers proposés ont permis aux étudiants de se confronter aux pratiques les plus diverses : danse, théâtre, poésie sonore, peinture, mais également la création sonore à travers l’atelier « Les bruits racontent Strasbourg », et à la percussion contemporaine grâce à l’atelier « Percustra » organisé en partenariat avec les Percussions de Strasbourg.
Les bruits racontent Strasbourg
Cette année, en plus de l’exposition et des performances, les Ateliers culturels proposeront le premier parcours sonore sur le campus central. Les étudiants de l’atelier « Les bruits racontent Strasbourg » ont pendant un semestre collecté des bruits, des sons de la ville ou d’ailleurs. Ils en ont fait des modules sonores – musique bruitiste, interviews, etc. – interagissant avec l’architecture du campus et de ses environnements. Tous les jours de la manifestation à 13h, les étudiants donnent rendez-vous au public devant le Collège doctoral européen pour l'accompagner dans une déambulation d’une heure, depuis le Molodoï jusqu'au port du Rhin, en passant par la Cathédrale et l'Orangerie. Les bâtiments de l’université deviendront des rampes de lancement pour l’imaginaire du public guidé et propulsé par les modules sonores de l’atelier.
Inscription au parcours sonore : ateliers.culturels@unistra.fr
Unisciel, portail de ressources pédagogiques numériques en sciences fondamentales, lance un concours étudiant de blogs scientifiques : Blogosciences. L'objectif du concours ? Réaliser un billet de blog ou une vidéo répondant à la question scientifique de votre choix : comment se produit un tsunami ? Comment fait-on une analyse ADN ?... Chacun peut traiter la question comme il le souhaite : vidéos décalées, schémas, bande dessinée... Déposez ensuite votre production sur la chaîne dédiée créée pour le concours. Le gagnant, désigné par les internautes, remportera la somme de 1 000 euros. Les meilleurs blogs apparaîtront sur le site Futura‐sciences, partenaire du concours.
Après un voyage en France de deux ans, l'exposition de l'Inserm « Science/fiction – voyage au cœur du vivant » pose ses affiches sur les grilles extérieures de l'Université de Strasbourg. Une exposition ludique où l'univers de Jules Verne se mêle aux images issues des laboratoires scientifiques de l'institut.
Dans un savant mélange des genres, le public est ainsi invité à poser un regard nouveau sur la recherche scientifique : chaque panneau fait écho au célèbre écrivain et est également illustré par de courtes histoires imaginées par Bernard Werber, auteur entre autres de la Trilogie des fourmis. Science, littérature, graphisme, le voyage se veut inventif et pédagogique.
Liés par un partenariat fort dans le domaine de la culture scientifique, l’Inserm Grand-Est et le Jardin des sciences de l’Université de Strasbourg se sont associés pour mener à bien cette exposition, qui s'inscrit également dans le cadre du mois de la santé et de la recherche médicale en Alsace. Les dix-neuf panneaux se découvrent face à la station de tram Université jusqu'au 1er septembre.
« Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme… » Les deux photographes Aldo Soares et Nicolas Guerbe, en collaboration avec le Comité ambition chimie, ont décidé de revisiter la maxime attribuée à Lavoisier pour réaliser l'exposition « Regards sur la chimie – Des innovations pour aujourd'hui et demain ». Une exposition itinérante, que les Strasbourgeois pourront découvrir dès le 18 avril et jusqu'au 15 juin sur les grilles extérieures de l'université, boulevard de la Victoire.
Sur le fond, le travail des deux photographes se veut une invitation au dialogue entre la communauté scientifique et les citoyens, sur des thèmes tels que la protection du littoral, l'énergie solaire, le cancer, la beauté, la qualité de l'air, etc. Côté forme, ils ont travaillé sur de larges triptyques présentant, de gauche à droite, un produit « transformable » (une balle de caoutchouc synthétique), le portrait de chimistes, le produit fini (un pneu). Une manière également de s'interroger sur le rôle de la chimie : art de décomposer et d'analyser les corps ou, au contraire, de les recomposer ?
Depuis quatre décennies, l'homme s'est lancé à la conquête de ce nouvel espace virtuel qu'il a créé : le Cyberespace. Cette aventure moderne lui a permis de gouter une nouvelle liberté, avant de percevoir la nécessité d'y imposer des limites, des lois et moyens de protection pour se défendre face aux « cybermenaces ».
Le jeudi 19 avril à 17h, le Centre de culture numérique de l’Université de Strasbourg vous propose de partir à la découverte de ce « cyber Far-west » avec :
Alain Sevilla, colonel de gendarmerie, chargé d'enseignement à l'Université de Strasbourg, directeur du Centre européen de recherches et d’analyse des cybermenaces (Cerac).
À l’occasion de cette rencontre qui se veut très visuelle, un panorama des cybermenaces sera présenté à travers des démonstrations et cas concrets d'actualité.
Bâtiment Atrium
16 rue René Descartes – 67000 Strasbourg
Amphithéâtre AT8
Cet événement s'inscrit dans le cadre des nouvelles conférences mensuelles programmées au Centre de culture numérique. Elles offrent l’occasion de s’informer, discuter et se forger une opinion éclairée sur diverses thématiques liées au monde numérique.
Le cycle proposé en avril par les Conférences du Jardin des sciences porte sur Recherche et thérapeutiques.
Ces conférences sont ouvertes à tous les publics les jeudis soirs, à l'Institut de physique (3 rue de l'Université) à Strasbourg.
Elles permettent des échanges et débats avec des chercheurs et scientifiques sur des thématiques actuelles.
Consulter le programme.
Dernière séance du cycle Univerciné, qui présente l’ensemble des projections-rencontres soutenues par le Service universitaire de l’action culturelle sur le campus. Proposées par des composantes ou associations de l’université et des partenaires régionaux de l’audiovisuel et du cinéma, ces séances sont programmées en entrée libre et en présence de réalisateurs, d’acteurs, de critiques, de chercheurs et de spécialistes…
Lundi 16 avril / 20h / Amphithéâtre 2 – Institut Le Bel
La Fièvre dans le sang (Splendor in the Grass), d'Elia Kazan (Un tramway nommé désir, À l’Est d’Eden), avec Nathalie Wood, Warren Beatty, Barbara Loden.
USA, 1961, 2h. Version originale sous-titrée en français.
Séance programmée avec l’association La Cigogne enragée (département des arts du spectacle, Université de Strasbourg) et présentée par Michel Cieutat. Critique de cinéma (Positif, CinémAction), auteur de nombreux ouvrages sur le cinéma américain et ex-enseignant-chercheur à l'Université de Strasbourg, Michel Cieutat prépare actuellement un livre d'entretiens avec Michael Haneke, Haneke par Haneke, coécrit avec Philippe Rouyer.
Qu’est-ce que filmer le pouvoir ? Comment rendre compte de la construction de la parole publique, de la gestuelle du pouvoir politique et de la mise en scène qui l’accompagne ? Ces questions seront au cœur du cycle de projections-débats Histoire(s) de télévision/Filmer le pouvoir, organisé par l'Institut national de l'audiovisuel et Vidéo Les Beaux Jours, en collaboration avec le Service de l’action culturelle de l’Université de Strasbourg et les Musées de la Ville de Strasbourg. Une thématique qui fait écho aux enjeux d'une campagne présidentielle, archives audiovisuelles à l'appui.
Envoyez votre info à lactu@unistra.fr avant le mercredi 9 mai midi pour une parution le vendredi 11 mai 2012.
Consultez les dates des prochains numéros.